•• Hayashi Kogeru •• "Far far away"

I. LE PERSONNAGE.

• NOM : Hayashi
• PRÉNOM : Kogeru
• GENRE : Masculin
• ÂGE : 25 ans
• QUINQUE: De type bikaku.
• GRADE: Investigateur de rang 2.
• ORIENTATION SEXUELLE : Pansexuel.
• AVATAR :Fushimi Saruhiko de K Project.

II. LES DESCRIPTIONS.

Kogeru est un jeune homme qui aime qu'on le remarque, et son rêve est de voir tous les regards posés sur lui s'illuminer dès sa divine apparition. Imaginez vous marcher dans la rue et entendre une ruée de fans courir vers vous en vous acclamant. Génial non ? Il aime qu'on le félicite, son ego augmente à chaque compliment qu'on lui fait. Un jour peut-être qu'il explosera, qui sait. Sa confiance en soi est considérable, on dirait même qu'il empeste la détermination et la confiance. C'est une bonne chose en soi, d'être déterminé à ce point. Ce qu'il fait, il le fait pour la renommée, il vise toujours plus haut. Il adore quand quelqu'un lui est redevable, c'est comme s'il avait besoin de cela.
Et pourtant... Quand on le voit chez lui, habillé tel un.. Tel un quoi, d'ailleurs ? Bonne question. Habillé comme un plouc, sortons les grands mots, on ne dirait absolument pas qu'il souhaite devenir investigateur de rang 3. Eh oui, les apparences sont trompeuses !
C'est aussi quelqu'un qui agit avant de réfléchir. La plupart du temps c'est problématique, que ce soit pour parler à un collègue ou bien pour utiliser sa Quinque correctement. Il est très direct, et s'il était un peu plus compréhensif il regretterait la plupart du temps ses paroles. Mais Kogeru n'est pas très compréhensif, se mettre à sa place des autres c'est pas son truc. Il peu paraître assez rude. Aussi, il parle relativement fort à comparé des autres personnes. Ceci est à la fois du à sa personnalité mais aussi parce qu'il a des problèmes auditifs depuis qu'il est jeunes. Il entend souvent des sifflements aigus désagréables.
Par contre, il a un sacré sens de l'humour. Ses blagues sont souvent bienvenues, ça permet de décompresser un peu. Sauf lorsqu'il est fatigué, ses blagues sont carrément nulles. Les trucs du genre "Monsieur et Madame Terieur ont deux fils, comment s'appellent-ils ?", vous connaissez ? C'est nul, on est d'accord. Et la réponse c'est Alain et Alex, au cas ou vous vous le demandiez.
Une fois que vous serez bien ami avec lui, vous remarquerez certainement qu'en fait il est plutôt sympa ce Kogeru. Si jamais vous oubliez votre repas, il partagera le sien avec vous. Ce sont des petites choses comme ça qu'on ne remarque pas toujours aux premiers abords, il faut juste de la compréhension et beaucoup de patience.
Malgré tout cela, il est une personne très respectueuse envers ses supérieurs. Il ne supporte pas que des personnes inférieures se permettent d'être irrespectueuse envers leurs aînés.
Autre chose, moins importante. Au niveau de l'amour, Kogeru est nul. Nul nul nul. Aussi nul que ses blagues. Mettez quelqu'un d'attirant devant lui, homme, femme, arbre, piano, laissez les parler pendant une dizaine de minutes, et PAF ! Il perdra tous ses moyens, commencera à rougir, se mettra à rire bêtement, dira encore plus d'âneries, et même peut-être qu'il.. Bégayera. Lui, bégayer. Il n'a jamais eu de relation qui duraient plus de deux mois. C'est déjà pas mal hein. Surtout qu'avec le métier qu'il fait, il n'est pas sûr de vraiment vouloir s'investir dans quelque chose à long terme.

Kogeru serait un jeune homme à l'apparence plutôt banale, on aurait du mal à distinguer dans la foule. Pourquoi ? Sa stature n'est pas très imposante, pour commencer. Il mesure un peu moins d'1m75, et sa silhouette est élancé. Certes il fait du sport pour se maintenir en forme, ça se voit de par son énergie, mais il semblerait que l'athlétisme ne suffise pas à assez développer sa musculature, du moins on ne voit pas beaucoup de changements. Il a souvent les mains dans les poches. Et si on s'approche un peu plus, on peu s'apercevoir qu'il n'a rien de vraiment spécial, sa tête est plus ou moins banale, cela dépend de la personne qui le décris, il ressemble bien à la plupart de la population japonaise. Ses traits sont fins, mais pas au point d'être féminins. Non non non. Ce qui peut étonner si on fait bien attention ce sot ses yeux, clairs, perles grises héritées de sa mère, femme d'origine scandinave. On ne les voit pas très bien, avec les lunettes qu'il porte. Eh oui, Kogeru est myope, en plus quand il n'a pas ses lunettes il a un léger strabisme. Mais ça personne n'est sensé le savoir, il ne pose ses lunettes que pour aller se coucher et de doucher. Ah bah oui, sinon il ne voit que des vagues choses très troubles. Mais mis à part cela, ses cheveux sont noirs de jais, et sa peau est relativement pâle. D'ailleurs, il ne se coiffe qu'un minimum. Juste de quoi faire en sorte de ne pas ressembler à un épouvantail. En fait, il ne fait pas vraiment attention à son apparence. Sa mère lui a toujours dit qu'il était très bien comme ça, qu'il ne devait rien changer. Alors il ne changea rien.  
Et quand à ce qu'il porte, il de contente généralement de l'uniforme que la plupart des membres du CCG portent, et lorsqu'il ne travaille pas ou qu'il se réveille en retard, ce qui soit dit en passant est rare, il prend au hasard des vêtements dans son armoire. C'est pas son truc, les fringues. Parfois c'est laid, pas la peine de mentir. De toute façon Kogeru n'a aucune connaissance en matière de style, ne lui demandez ô grand jamais son avis sur votre manière de vous habiller. Vous le regretterez amèrement.

III. L'HISTOIRE.

Mon histoire ? Vous voulez connaître mon histoire ? Mais c'est avec plaisir que je vais vous la raconter ! Alors tout d'abord, je suis né un froid jour d'hiver, à Tokyo même. Mon père y était également né, tandis que ma mère était née dans un village peu connu au sud de la Suède. Heureusement ou malheureusement, à vous de décider, je ne suis pas l'aîné de la famille. J'ai un frère qui se prénomme Akito, comme notre grand-père, et qui est de quatre ans mon aîné. On me dit souvent que je lui ressemble. Je pense que c'est faux, il est bien plus attirant que moi. Au pire, on s'en fiche.
Notre famille est plutôt aisée, du moins nous avions tout ce dont nous avions besoin, et nous ne demandions pas énormément de cadeaux. De toute façon, la plupart du temps notre père refusait de nous acheter des choses en plus, de crainte que nous ne devenions des enfants pourris gâtés. Ça ne nous dérangeait pas plus que cela, nous ne pouvions pas envier ce que nous n'avions jamais eu.
Petit, mes notes à l'école primaire étaient médiocres. Je me contentais du strict minimum. J'avais les capacités, apparemment, mais pas l'envie. Je préférais faire le pitre. Et puis soudain, mes parents m'ont dit que si je leur ramenait des bonnes notes, j'aurais une surprise. Curieux, j'ai fait l'effort de m'intéresser au cours, et ainsi je parvins à obtenir une excellente note en mathématiques, la matière que je préférais. Et qu'eu-je en récompense ? Un grand sourire de la part de mes parents et une énorme peluche d'un ours qui faisait au moins le double de ma taille. Du moins j'avais l'impression qu'elle était énorme, mais maintenant que je la regarde, éventrée dans un coin de ma chambre, recouverte de poussière, je me dis que je devais vraiment être débile quand j'étais petit. Désespérant. Enfin soir. Étonnement, mon frère ne montra aucun signe de jalousie. Il n'avait rien à m'envier de toute manière, lui réussissait parfaitement à l'école, et c'est à partir de ce jour que je me mis en tête de suivre ses pas. En plus, maintenant mes parents me montraient ouvertement qu'ils étaient fiers de moi, quelle joie !
Une fois qu'il eut fini ses études, mon frère ne savait pas ce qu'il allait désormais faire. Je ne comprenais pas pourquoi, avec les capacités et le savoir qu'il avait, il aurait pu faire tout ce qu'il voulait ! Cela me mit hors de moi. Mes notes chutèrent soudainement, je n'écoutais plus rien ni personne. Non, je préférais sécher les cours et m'enfermer à clés dans ma chambre. Mon père travaillait la journée donc il n'en savait rien, et ma mère s'arrangeait pour le lui cacher, de peur qu'il ne s'énerve de trop. Ma mère est une peureuse.
Mais cette "crise" me passa. Mon frère parvint à me raisonner, il réussit à me convaincre qu'il ne devait pas autant intervenir dans ma vie, que ce qu'il faisait ne me concernait aucunement et que je ne devais surtout pas mettre en péril mon année scolaire pour de telles "sottises". Bien, tout redevint comme avant. Sauf que maintenant j'avais plus de mal à regarder mon frère dans les yeux, nous étions plus distants au grand malheur de nos parents qui ne comprenaient pas.
Il n'était pas ambitieux, je l'étais beaucoup trop. Moi je décidai d'intégrer les rangs du CCG. Comme ça, je pourrais être utile à la population, on me féliciterait, je pourrais être fier de moi, et mes parents aussi. Au début ils étaient très réticent, mon père refusa même clairement. Mais ils ne pouvaient me forcer à abandonner ce projet, j'étais déterminé, contrairement à Akito. Ils ne purent me retenir bien longtemps.
Je suivis donc le plus tôt possible la formation nécessaire afin de faire ce que je désirais, et je devins enfin investigateur de rang 1 au bout de plusieurs années. Ô Joie, j'étais tellement soulagé d'être enfin certain de réussir dans la vie. Mais ça ne me suffisait pas. Non, maintenant j'en voulais plus, je devint d'autant plus assidu dans mon travail, je voulais tellement susciter l'admiration des autres.
Devinez quoi ? Il y a a peine un an que je réussi à devenir investigateur de rang 2. Plus dangereux ? Oui, certainement. Je ne le pensais pas, que ce serait si dangereux. Mais je ne regrette en rien d'avoir fait ce choix il y a quelques années auparavant, au contraire ! Non, maintenant plus rien ne peut m'arrêter, même pas le manque de nouvelles de ma famille... Dans quelques années j'atteindrai le rang 3, j'en suis sûr et certain.

IV. DERRIÈRE L'ECRAN.