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Rumeurs
x On aurait aperçu Jezabel faire une déclaration d'amour à un lampadaire suite à une soirée trop arrosée... x Il paraît que le GDN (Gang Des Nains) composés de Renji, Caïn et Eto organiserait la contre-offensive pour prouver que ce qui est petit est très dangeureux. x Apparemment, les dangereuses personnes que sont Clyde, Kohaku et Jezabel ont l'intention de créer une nouvelle religion, basé sur le St PapierBulle. Je n'en connais pas les détails, mais doit-on craindre pour nos vies?
Bien. Cette journée allait très certainement être gravée à tout jamais dans sa mémoire. Quoique. Tout est relatif. Surtout chez lui. Surtout pour sa mémoire. Il suffisait qu’on lui dise que telle chose était extrêmement importante, pour qu’il se mette en tête de l’oublier le plus possible. Il devait avoir adopté le sens de contradiction comme sixième sens. Ce qui était loin de le rendre plus agréable. De toute manière, le jour où il le serait, il vaudrait très certainement mieux appeler les secours que d’admirer béatement ce miracle descendu enfin sur Terre. Soit. Depuis quelques temps, plusieurs choses avaient changées dans sa vie, outre le manque de paillasson de bienvenue devant la porte de son appartement, qui avait été vilement subtilisé, par quelqu’un du voisinage, sans doute. Le pauvre, il était forcé à faire sa vie ailleurs. Il n’aurait plus l’honneur de se faire toucher par les chaussures ô combien magnifiques, du blond au nom beaucoup trop long et imprononçable que pour l’écrire pleinement à cette place.
Déjà, il avait enfin prit un logement rien qu’à lui. Non pas qu’il aimait à ce point-là vivre avec son paternel, mais tout simplement par flemme de devoir se bouger les fesses, et trouver quelque chose. S’étant quand même rendu compte qu’il approchait de la trentaine, Przemyslaw avait eu la bonne idée de partir du nid. Il était temps. Mais il ne fut on ne peut plus heureux du résultat. Même si cela avait été légèrement chaotique au départ, il s’en sortait plutôt pas mal. Il avait tout arrangé comme il le souhaitait, que ce soit au niveau de la décoration, ou autre. Ce n’était pas non plus un palace, mais cela lui convenait parfaitement. A son chat aussi. Tout comme à son furet. Maintenant qu’il n’avait plus personne pour l’empêcher de prendre tel ou tel animal, son espace de vie risquait très fortement de se transformer en un zoo. Ou un refuge. A voir.
Il ne s’agissait pas non plus du seul changement. En plus d’un déménagement, il s’était vu promu. Joie. Même si son but final n’était pas non plus d’atteindre le meilleur rang, maintenant il allait pouvoir encore plus regarder des gens de haut. Avec une bonne raison. Autre que « Moua je suis plus grand que toi, petit être inférieur, ressent ma supériorité. ». Et il allait aussi connaître la joie d’être avec un nouveau binôme. Qu’il allait rencontrer aujourd’hui. On lui avait donné le nom de la personne, mais il ne se souvenait ne jamais l’avoir vue. En même temps, il ne passait pas son temps à regarder les moindres gestes de toutes les personnes, et essayer de mettre un prénom sur toutes les têtes. Il y avait des choses qui ne méritaient pas d’être retenues. Enfin, ici, il n’aurait pas vraiment le choix, il allait quand même vivre un bon bout de temps avec ce binôme. Retenir son prénom et sa tête serait la moindre des choses.
Et puis, il fallait bien l’avouer, il était curieux. Curieux de voir quel serait son caractère. Et son physique. Même s’il n’était pas du genre à s’arrêter à cet aspect – il était bien plus drôle et plus subtil de se moquer de la personnalité- il y prêtait une certaine attention. Merci mais devoir travailler avec un pouilleux, non. Si on lui en refilait un, il ne savait pas exactement ce qu’il ferait. Il l’ignorerait dans un premier temps, par facilité, et puis s’occuperait de devenir le plus imbuvable possible, pour qu’il aille se plaindre à leurs supérieurs, et qu’on le change. Voilà. Jamais il ne s’abaisserait lui à demander qu’on le change. Merci, il avait sa fierté. Et il la garderait, en tout circonstances. Ou presque.
Soit. Il était arrivé un peu à l’avance, ce qui n’était pas plus mal, et se mit en tête donc de découvrir les nouveaux lieux. Maintenant qu’il était devenu un investigateur de rang deux, tout allait changer. Ou presque. Alors autant s’habituer à son nouvel environnement le plus vite possible. Il était quelqu’un qui prenait assez vite ses marques. Et avait énormément de mal à les enlever. Une fois qu’il aurait décidé que tel siège était le sien, hors de question que qui que ce soit d’autre n’aille poser ses fesses dessus. Sinon. Il bouderait. Voilà.
Non, en fait, il passerait son temps à rendre la vie dure à ladite personne. Même si elle était inculte, c’était un crime impardonnable. Crime de lèse-majesté. On lui devait respect et obéissance après tout. Si l’on ne voulait pas craindre de le retrouver à fouiller dans nos poubelles, pour pouvoir recueillir la moindre information contre nous. Toujours classe, oui. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid, et le blond était prêt à tout faire pour y arriver.
Soit. Là tout de suite, il n’était pas question de siège. Mais d’attendre la personne qui devrait le rejoindre, et faire connaissaaance, ouaiiis. Collons-nous tous des étiquettes avec notre nom écrit dessus en majuscules et tenons-nous tous par la main pour ne pas nous perdre. Très mauvaise idée l’étiquette, il était certain que son prénom ne rentrerait même pas dessus. Tristesse. Et s’appeler Przemysl, c’est moche. Quoique. Il avait ouï dire par son père qu’il s’agissait du nom d’une ville. Mais tant que ce ne serait pas Przemyslaw, ce serait moche, il l’avait décidé.
Ah, longue et dure journée en perspective. Pourquoi donc ? Tout d'abord, nous sommes lundi. Eh oui, le lundi n'est un jour facile pour vraiment personne, c'est vrai, même Kogeru a bien souvent du mal à se remettre de son week-end. De plus, hier soir, il y avait un téléfilm super intéressant, et le jeune homme n'avait pas eu la force ni l'envie d'attraper la télécommande qui était sur la table basse en face de lui. Oh, attendez, la table basse elle est située à deux mètres du canapé, c'est énorme. Faut pas pousser hein. Alors du coup, il avait regardé ce fabuleux film jusqu'au bout. Mais après.. Après il s'était rendu compte qu'il avait oublié de faire la vaisselle. N'ayant aucune envie de devoir la faire en double le lendemain, il avait choisi de la faire maintenant, à 23h15. Après ça, il était fatigué, normal, donc il jugea bon d'aller finalement se coucher. Mais c'était sans compter ses foutus voisins qui eux avaient décidé de s'engueuler, et merci l'insonorisation pourrie de l'appartement où vit Kogeru, il en avait déduit qu'il s'agissait d'une affaire de vaisselle non faite. Bah tiens. Toujours faire sa vaisselle quand c'est son tour, toujours. Lui même n'avait pas ce problème, il vivait seul après tout. Et c'est tant mieux ! Devoir débattre et se disputer pour savoir qui fait la vaisselle, qui jette le rouleau de papier toilette vide, ce n'est pas son truc, mais alors pas du tout. Mais du coup, les deux abrutis du dessus ne cessaient de crier, et logiquement, le temps passait. Une heure, deux heures.
Au final, il s'endormit aux alentours de 03h30. Génial. Et devinez quoi ? Son réveil sonna deux heures et demie plus tard. La bonne blague. Lui il a besoin d'au moins huit heures de sommeil, vous vous rendez compte ?! Du coup, il eut comme une illumination. Il n'allait pas se lever, voilà. Arriver une ou deux petites heures en retard au travail, c'est rien. Ça lui était déjà arrivé, il avait simplement reçu des avertissements, rien de grave. Il pouvait encore se le permettre au moins une fois. Partant de cette idée, il se rendormit paisiblement. Ah, dormir, que c'est agréable. Le réveil beaucoup moins. En fait, il avait prévu de dormir encore une heure, mais il venait de se souvenir de quelque chose. Aujourd'hui n'était pas un jour comme les autres, en fait. Non.
Aujourd'hui, il allait rencontrer son binôme. Oui, son binôme. Vous vous rendez compte ? Kogeru allait devoir travailler en équipe. L'horreur. Il détestait devoir travailler en équipe. Devoir partager la reconnaissance.. Il n'en n'avait déjà pas assez pour lui tout seul, alors pour deux..! En plus il avait la certitude que la personne avec qui il allait devoir faire équipe était incompétente. Grrr. Peu importe, il serait totalement exécrable avec. Allez hop, un petit croche-pied par ci. Hop, une bousculade par là. Oups, plus de coéquipier. Ça serait dommage non ? De toute façon, s'il était intelligent, il comprendrait vite que sa présence n'est que très peu désirée. Comprendre ici pas du tout. Kshshshsh. Il espérait au moins que ce soit quelqu'un de relativement beau. Eh, ça doit pas être facile de bosser avec un laidron. Voir sa sale tête tous les jours.. Alors un laidron incompétent ? Plutôt mourir ! Enfin bref, tout ça pour dire qu'il ne devait absolument pas être en retard. Raté. Même avec toute la bonne volonté du monde, s'il partait maintenant il aurait au moins une quinzaine de minutes de retard. Pour qui allait-il passer ? Oh, pas le temps d'y penser, il devait foncer !
C'était avec une vitesse presque surhumaine qu'il sortit de son lit, réussissant Dieu sait comment à ne pas s'éclater au sol, et s'habilla en vitesse. Jean et chemise grise, ça le ferait pour aujourd'hui hein. Une cravate ? Pas le temps. Se coiffer ? Encore moins. Manger ? Vous voulez rire ? Heureusement qu'il n'habitait pas excessivement loin ! Ses lunettes. Oh, il ne fallait pas qu'il oublie ses lunettes. Sinon, la journée risquait de virer à la catastrophe. Hhh. Il devait absolument se calmer, aussi. Ne pas faire de crise d'angoisse, ça serait bien. Voilààà. Il enfila rapidement sa veste, et partit comme une flèche de chez lui, oubliant même de fermer la porte à clés derrière lui. Oh, il n'avait pas grand chose à voler de toute manière. Ce n'était pas le plus important pour le moment. Il aurait peut-être du penser à boutonner sa chemise correctement quand même, là c'était tout de travers. Mais soit.
Une grosse dizaine de minutes plus tard, il y était, au siège du CCG. Quelle affaire. Maintenant, le moment fatidique approchait de plus en plus. Plus qu'une petite centaine de mètres avant de rencontrer ce foutu partenaire. Petit chieur. Voilà, c'était un petit chier. Il n'avait aucune idée de qui il s'agirait, mais il serait un petit chieur. Voilà voilà. Là, au loin, il voyait quelqu'un qui se trouvait à l'endroit précis où devrait se trouver son nouveau coéquipier. Serait-ce lui ? Sans doutes ! Mince alors, il a pas l'air petit. Grand chieur ? Pfff. Allez, approchons nous. Pour l'instant, Kogeru était assez septique. Il ne pouvait pas juger cette personne sur son physique si..?
SI. OH MON DIEU. D'OÙ SORTENT CES CHEVEUX, DE L'ENFER ? Ouuuh là là ça ne va pas du tout ça. On a pas idée d'avoir des cheveux co... C'est vrai, il n'a pas vraiment son mot à dire là dedans. Mais bon. Maintenant qu'il était à un mètre et demi de l'autre, il ne savait que faire. Le saluer, peut-être. Mais bizarrement, il n'arrivait pas à parler. C'est pas de la peur hein, c'est de la raaage. C'est donc lui qui allait l'empêcher de progresser rapidement. Mooonstre. Alors, il fit la seule chose qu'il était en mesure de faire : Il sourit. Un sourire, c'est chouette, c'est communicatif, ça fait sympa. Et puis bon, ils allait bien devoir bosser ensemble, autant faire de son mieux pour bien s'entendre. Avec un peu de chance, il était peut-être même sympa. Allez, un petit effort, il lui tendit la main. Quelle délicate attention, n'est-ce pas ?
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Mar 15 Sep - 19:14
✘ Première rencontre, premières impressions ✘
Hayashi Kogeru
▬ Ma teinture elle est belle d'abord. Jaloux.
Bon. Il faisait quoi là ? Il allait oser être en retard ? Que ce soit au moins à cause d’un bon brushing. Sinon, il ne le pardonnerait pas. Peut-être. Tout dépendrait de la personne en fait. S’il lui paraissait sympathique ou non. Oui, tout allait se jouer sur la première impression. Dans un premier temps. Il n’avait pas envie de passer des heures à essayer de cerner la personne et à lui faire subir un interrogatoire. Ils auraient très certainement autre chose à faire. Et si la personne semblait exaspérante, il n’irait pas non plus se creuser la tête pour lui trouver une quelconque excuse. Il serait imbuvable, point final. Tout ce qu’il aimait faire en quelque sorte. Et le, ou la, future binôme le remarquerait très vite. Que ce soit avec lui, ou certains de leurs collègues. Il ne pouvait pas s’en empêcher. C’était son deuxième oxygène.
Bien, bien, bien. Que faire maintenant, en attendant. Il fallait bien qu’il s’occupe, d’une manière ou d’une autre. Quoi de mieux que de regarder les personnes passant, en les critiquant intérieurement ? Rien. Strictement rien. Les passants subiraient donc son jugement, en silence. Et en temps voulu, il leur partagerait peut-être le fond de sa pensée. Peut-être. Tout dépendrait de s’ils étaient assez intéressants pour qu’il daigne leur adresser la parole. Ou alors un jour où il s’embêterait plus que nécessaire. Et qu’il n’avait vraiment rien d’autre à faire, ou à sa portée. Bref. Lui là-bas en brun…Non, trop banal que pour être jugé. Mis à part qu’il avait les cheveux gras. Yek. Détournons le regard. Vite. Là. Quelqu’un avec des bottes à hauts talons. Moches. Trop aiguilles. Il ne lui donnait même pas deux heures pour que l’un des deux se casse. Et vu la taille de son sac, elle n’avait pas de paire de rechange. Bien fait. Tant qu’elle ne tombait pas en essayant de se rattraper sur lui. Il ne voudrait pas de cette soi-disant manucure sur lui. Plus loin il en serait, mieux il vivrait. C’était tout ce qu’il avait à dire. Suivant.
Mon Dieu. De pire en pire. Une tête de phoque. Il en aurait presque envie de lui offrir des sardines en lui demandant de faire le beau. Presque. Mais il risquerait de le prendre mal. Assez mal. Tristesse. Ou alors il ne comprendrait pas. Tristesse². Des gens intéressants n’avaient donc pas envie de se pointer ? Il était beaucoup mieux d’aller s’asseoir dans un parc et détailler toutes les personnes présentes. Là il y avait plus de phénomènes. Et surtout plus d’enfants à critiquer. Ici, impossible d’en trouver. Tristesse infinie. Il devait se contenter d’hommes et femmes fades. Fades ? Non. Là-bas. Y avait un type en chemise et jean. Avec des cheveux… des cheveux bizarres. Comment était-ce possible de sortir comme ça, franchement. Tu es totalement à côté de la plaque Ma Chérie si tu veux être magnifaik, faudra t’y prendre autrement. Même s’il avait de belles lunettes, c’était impardonnable. Impardonnable. HHHH. Monstre venu des égouts. Przemyslaw n’avait déjà jamais envie de déboucher son évier quand il en avait besoin, avec en plus la peur qu’une telle chose pouvait en sortir, c’était fini. Le plombier s’en sortirait bien tout seul. Il était payé pour d’ailleurs, non ?
Hm ? Tiens ? Il se dirigeait vers lui là ? Pourquoi. Non. Il ne ferait que passer à côté de lui. Sa grandeur l’avait sublimé, et il voulait frôler la perfection qu’il était voilà tout. Même les inconnus maintenant se disputeraient pour pouvoir le connaître et lui parler. Si ce n’était pas beau tout ça. Bon. Peut-être qu’il faudrait arrêter de le fixer d’abord. Il risquait de paraître impoli. Tiens. Faisons semblant de fixer le mur. Mais c’est qu’il continuait de se rapprocher. Hmph. Bizarre tout ça. Oh. OH. Attendez. Et si c’était son binôme ? Nooon. Noooooon. Si. Il était en train de lui sourire. Hhh. Attaque ultime. Il avait l’air plus ou moins sincère. HHH². Essayons d’en faire de même. Mouais. Ca devait être mi-ironique, mi faux-cul. Yeah. Bon. Serrons-lui la main. Ca, il savait faire. De manière beaucoup plus sincère. Franc et assuré.
« ▬ Pelka, Przemyslaw Pelka. J’imagine donc que vous êtes la personne ayant été désignée pour être mon binôme ? »
Que d’égocentrisme dans cette phrase. Peut-être que ça ferait passer l’aspect du « Je suis un alien au nom imprononçable venu de nulle part » Ou « Je me fiche totalement de toi en disant n’importe nawak et en disant des lettres au hasard. » En même temps, il n’avait pas non plus une tête d’asiatique, contrairement à son interlocuteur. Maintenant il ne l’était peut-être pas non plus. Mais ne parlons pas de malheur. Il avait toujours raison. Toujouuurs. Et son égo irait encore mieux. Il grossirait juste un touuut pitit peu. Enfin. Il grossissait déjà en voyant le style de son homologue. Alala. Il faudrait qu’il lui donne des cours de relooking tiens. Il lui prendrait un rendez-vous chez le coiffeur aussi. Une fois qu’ils auraient un jour de congé, il le kidnapperait voilà. Et s’il n’était pas d’accord, tant pis.