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x On aurait aperçu Jezabel faire une déclaration d'amour à un lampadaire suite à une soirée trop arrosée...
x Il paraît que le GDN (Gang Des Nains) composés de Renji, Caïn et Eto organiserait la contre-offensive pour prouver que ce qui est petit est très dangeureux.
x Apparemment, les dangereuses personnes que sont Clyde, Kohaku et Jezabel ont l'intention de créer une nouvelle religion, basé sur le St PapierBulle. Je n'en connais pas les détails, mais doit-on craindre pour nos vies?

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Invité
Sam 7 Jan - 22:15
Saito Renji

Âge : 24 ans
Nationalité : Japonais
Genre : Homme
Orientation sexuelle : Homosexuel
Métier ou études ? : Officiellement perceur/tatoueur. Officieusement serial killer

Physique

Renji est atypique. C'est la première chose qu'on remarque quand on pose notre regard sur lui. Physiquement disons qu'il se détache du reste de la population, non seulement parce qu'il est assez petit du haut de ses 1m68 mais parce que son style sort de la norme. Mais on y reviendra un peu plus tard sur ce point. Comme dit plus haut, Renji est assez petit, pas vraiment impressionnant pour deux sous et ça renforce son attitude flegmatique et passive habituelle. Pourtant le jeune homme n'a pas du tout un physique ingrat. Doté d'une musculature assez sèche mais bien dessinée, Renji s'entretient au travers d'arts martiaux comme le taekwondo ou la capoeira. Il est donc très vif et pas une personne qu'il faut emmerder si on ne veut pas se retrouver avec son pied dans la tronche. S'il pratique ce genre de sports, c'est principalement pour compenser sa taille et sa corpulence vu qu'il a toujours été plus ou moins chétif. Enfin, il ne peut pas être tatoueur sans en posséder quelques-uns lui même, les plus notables se trouvant être un tatouage tribal sur son épaule gauche qui s'étend jusqu'à ses pectoraux et un autre autour de son mollet droit. Il prévoit d'ailleurs de s'en faire d'autres.

Renji n'aime pas être dans la norme. Il s'est toujours considéré comme différent et ce depuis qu'il est tout jeune. Par conséquent, il a adapté son style à cette différence qu'il a toujours ressenti. C'est un adepte des teintures bien voyantes et peu naturelles. Toutes les couleurs sont passées sur ses cheveux; bleu, vert, violet,... Actuellement il fait une fixette sur le rouge passion. Il garde les cheveux mi-longs, les laissant tomber sur ses épaules ainsi que le côté gauche rasé qui laisse apercevoir sa couleur naturelle qui est le noir ébène. Son side cut est rasé à blanc par endroit pour former quelques lignes et motifs asymétriques. Il a également plusieurs piercings aux oreilles et parfois aux lèvres bien que ceux là il ne les porte pas tout le temps.

Son faciès n'est pas désagréable à regarder non plus. Ses traits sont assez matures et le vieillissent un peu, un effet renforcé par le fait qu'il ne soit pas du genre très souriant sans pour autant avoir l'air effrayant. Il est juste flegmatique en apparence et de toute façon mieux vaut ne pas le mettre en colère tout court. Sa couleur d'yeux oscille entre le brun et la couleur miel selon la luminosité et il lui arrive parfois de porter des lentilles dorées juste parce qu'il trouve ça classe.

Vestimentairement, n'importe qui définirait son style de clochard ou un truc du genre. Sauf que ce genre de style va parfaitement à la physionomie et à l'attitude de Renji. Adepte des vêtements amples, qui lui offrent une certaine liberté de mouvement, il est rare de le voir vêtu de façon formelle, ou alors il faut vraiment qu'il y soit contraint. Il n'est également pas frileux puisqu'il n'est pas rare de le voir se balader en top en plein hiver sans que ça ne semble le déranger. Et généralement, le jeune homme préfère les vêtements sombres à ceux colorés. Les licornes et les paillettes c'est vraiment pas fait pour lui.

Caractère

Renji faut pas le pousser. Il fait les choses à son rythme, comme il en a envie et sans se presser les trois quart du temps. Aux yeux de tout le monde, il est loin d'être quelqu'un de violent, mais plutôt de quelqu'un à part, qui vit dans son petit monde. Un petit monde qui tourne principalement autour de son métier et de son art. Tatouer est une passion, inventer des designs également. Lorsqu'il ne s'entraîne pas aux arts martiaux ou que son salon est vide, Renji passe son temps à dessiner. Il affectionne particulièrement le graphite et le fusain, parfois l'aquarelle et il n'est pas rare qu'il se balade en ville pour croquer rapidement des paysages et des passants.

Malgré qu'il semble détaché du monde réel, Renji n'est pas quelqu'un de désagréable. Il est ouvert d'esprit, enclin à toutes discussions. Pourtant il est assez... Franc quand il parle, et possède un langage parfois digne d'un charretier. Le rouge dit ce qui lui passe par la tête, si quelque chose ne lui plaît ou au contraire lui plaît... Il n'aime pas le mensonge, sauf pour une ou deux choses mais ça on y reviendra plus tard~ Autrement il peut être de bon conseil, quand il n'est pas un peu stone. Car oui, Renji est un consommateur de drogue, pas au point d'être addict mais il n'est pas rare de le voir avec un joint entre les lèvres. Il ne tombe pas à fond dans le piège de la drogue et n'en prend que pour rester le plus calme possible. Bien qu'il ne se soit jamais fait diagnostiquer clairement et qu'il n'en ait pas vraiment conscience, Renji souffre de bipolarité. Un problème mental qui parfois lui fait avoir des crises de violence. Il peut être calme puis d'un coup envoyer un coup de pied bien placé dans un meuble parce qu'il sera énervé sans raison. Fort heureusement ce souci n'est pas trop marqué et ça ne lui arrive pas souvent. Mais crises de bipolarité riment souvent avec pulsions meurtrières chez lui.

Malgré ses airs gentils, un peu hippies, Renji reste un tueur en série. Sa spécialité? Draguer et presque coucher avec ses victimes avant de les massacrer purement et simplement. Il aime jouer avec les coeurs, qu'il s'agisse d'hommes ou de femmes. Et il aime particulièrement briser les espoirs de ces dernières, jouer avec leurs sentiments pour au final leur annoncer qu'il préfère les hommes lorsque la situation atteint son climax. Lorsqu'il tue, Renji utilise le mode opératoire d'une goule, tant et si bien qu'il a plus souvent le CCG aux trousses que la police, puisqu'ils n'arrivent pas à déterminer si ces massacres sont l'oeuvre d'une goule ou d'un humain. Jusqu'à présent, le rouge ne s'est jamais fait attraper, ayant été assez malin tout ce temps en plus de laisser un gros délai s'écouler entre chaque meurtre qu'il commet. Entre deux il s'amuse juste à briser des coeurs au gré de ses envies. En revanche, Renji n'assume pas son homosexualité. Il a toujours eu peur de se faire juger là dessus et ce n'est qu'au dernier moment que ses cibles masculines notamment se rendent compte de son penchant pour les hommes. A la limite il préférera encore mentir en disant qu'il n'est pas intéressé par quoi que ce soit plutôt que de l'avouer haut et fort.

Renji n'est pas très prude non plus en plus d'être tactile. Il lui arrive régulièrement de toucher des gens en toute amitié comme il le dit si bien, de se coller à eux et de rester torse nu en toute impunité. Evidemment c'est aussi quelque chose qui aura fait chavirer des coeurs. Une autre chose dont il est adepte avec des personnes qu'il apprécie mais qu'il ne veut pas pour autant tuer sera de les stalker, purement et simplement. Apprendre tout d'elles, les attendre à des endroits qu'elles fréquentent beaucoup, rentrer chez elles par effraction,... Et si on le menace d'appeler la police, il trouvera toujours des arguments et des menaces qui feront changer d'avis ses victimes. Après tout, Renji tient à son image de tatoueur flegmatique et sans histoires.

Histoire

Tu t'es toujours dit que tu aurais mieux fait de mourir. Mourir et laisse ce monde, tes parents et tout ce qui t'entourait en paix. Tu étais et es toujours une bizarrerie aux yeux de la société. Pour commencer Renji, tu es né prématurément et on avait failli te considérer comme mort à la naissance, ce qui aurait été un soulagement pour celle qui t'avait donné naissance. En effet, ton père abusait d'elle et c'était comme ça que tu avais été conçu. Contre sa volonté. Forcée de te garder jusqu'au bout, sous les menaces de son mari.  Oh il n'avait pas voulu d'un enfant pour l'élever et l'aimer. Non, s'il t'avait voulu c'était avant tout pour obtenir des aides financières, qui lui serviraient à acheter l'alcool et la drogue qu'il consommait chaque jour.

Tu n'avais pas grandi dans une ambiance et un environnement sain. Tu étais scolarisé pour la forme et pour que tu ne sois pas complètement demeuré comme disait ton père. Mais à l'école, tu étais la cible des moqueries des autres, parce que tu étais plus chétif et faible que la majorité des autres enfants de ta classe. Tu n'avais pas vraiment d'amis de ce fait et tu restais dans ton coin pendant les pauses et les repas, sauf lorsque quelques malins décidaient de venir t'embêter, te bousculer ou renverser tes bento au contenu de misère vu que tu devais te débrouiller pour les faire toi-même. A la maison ta mère pleurait presque toute la journée tandis que ton père était à la cuisine en train de boire, de se piquer ou de fumer. Tu n'aimais vraiment pas rentrer chez toi, mais tu n'avais pas le choix puisque de toute façon tu n'étais le bienvenue nulle-part, autant à la maison qu'à l'école. Et quand tu rentrais tu t'arrangeais pour te faire tout petit même si parfois il arrivait que ton père vienne se défouler sur toi tandis que ta mère lui hurlait dessus pour qu'il arrête.

Pourtant, plus tu grandissais et plus cette situation te mettait en colère. Tu commenças à ne plus te laisser faire à l'école, répliquant aux coups et insultes que l'on proférait à ton encontre. Tes profs finirent par te prendre pour une racaille mal élevée alors que tu avais été victime depuis des années et ça te frustrait encore plus. Alors tu leur donna une bonne raison de te prendre pour une racaille en leur en faisant voir de toutes les couleurs. Tu avais même fini par être exclu de ton établissement, mais tu n'en touchas pas mot à tes parents. Tu faisais comme si tu allais en cours sauf que, à 14 ans, tu allais te balader en ville tout seul et traînait avec des sortes de gangs peu fréquentables. Ils t'initièrent à la drogue, bien que tu n'en prenais que rarement et c'est également à cette période que tu te rendis compte de ta préférence pour les hommes, même si tu n'en touchais mot à personne.

Ce petit manège dura deux ans environ, pendant lesquels tu alternais ta vie dans les rues et les sautes d'humeur de ton père. à la maison. Entre temps, ton style commença à changer aussi. Ta première teinture et le côté rasé de ta tête alors que tu avais 16 ans ainsi que les piercings à tes oreilles te valurent un sacré savon de la part du paternel. Quand il commença à t'engueuler tu décidas cette fois de lui tenir tête, parce que tu en avais marre de cet espèce de porc repoussant. Ta mère tenta d'intervenir mais fut repoussée chaque fois violemment par ton père, ce qui te rendait encore plus furax, à tel point que tu tentas de le frapper lui. Seulement il ne se laissa pas faire et t'agrippa par les cheveux violemment, te forçant à tordre le cou. Puis il agrippa des ciseaux de cuisine et entreprit de couper à ras tes cheveux, tandis que ta mère elle continuait de le supplier de te laisser tranquille. Ca faisait un mal de chien. Tu tentais de l'en empêcher, au point de te couper sur les lames des ciseaux, mais il te laissa tranquille seulement lorsque toutes tes mèches colorées furent rasées, te laissant prostré au sol avec une coupe digne d'un soldat. Tu en avais marre de ce type. Tu n'avais qu'une envie c'était de le tuer.

Un an plus tard, tu avais trouvé l'âme soeur, un petit ami que tu aimais plus que tout au monde. Tu avais cesser de faire semblant d'aller à l'école et passait la majorité de ton temps avec lui. Tu ne prenais plus le risque de te teindre les cheveux par ailleurs puisque tu voulais éviter le traumatisme de l'an dernier avec ton père. Bref, ton petit ami te faisait oublier la vie pourrie que tu vivais à la maison. Lui te comprenait, il t'appréciait comme tu étais et c'était réciproque. Un jour il avait insisté pour venir chez toi en cachette, en passant par le balcon de ta chambre. Il faut le dire, les choses devenaient plus intimes ce jour-là avec lui. Vos étiez tout deux enlacés, presque nus à vous taquiner mutuellement quand ton père défonça pratiquement la porte de ta chambre. Et en te voyant là avec un autre homme, il entra dans une colère noire. Fort heureusement tu réussis à faire s'enfuir ton copain à temps, avant que ton père ne se mette à te frapper violemment en te traitant de tout les noms. Seulement son comportement te dit péter un plomb. Tu répliquas le plus violemment possible, le frappant et tentant de le repousser jusqu'à la cuisine. Il ne se gêna pas pour t'envoyer valser contre le plan de travail en t'attrapant violemment par le cou, tandis que tu entendais ta mère hurler de frayeur. Seulement tu n'abandonnas pas malgré la douleur que tu ressentais en ce moment. Derrière toi, tu sentis les manches des couteaux effleurer ta colonne vertébrale.  Pendant que ton père approchait tu en attrapas un et quand il essaya à nouveau de te malmener tu le lui planta dans la gorge. Le sang chaud coula sur ta main et ton poignet mais tu n'ne avais que faire. Le voir en train d'agoniser devant toi en tentant de crier était jouissif. Tu lâcha le manche tandis que le corps de ton salaud de père s'affalait sur le parquet de la cuisine, t'éclaboussant de sang frais. Malgré toi tu ne pus t'empêcher de sourire à cette vue; ton père enfin mort, gisant dans son propre sang, un couteau au travers de la gorge.

Ce fut le cri horrifié de ta mère qui découvrait son fils couvert de sang et le cadavre de l'homme qui abusait d'elle qui te tirèrent de tes pensées. Tu levas la tête vers elle, même pas choqué par ce que tu avais vécu et fait à l'instant. Non la seule pensée qui te vint à l'esprit en voyant ta mère se tenir là, complètement mortifiée, fut d'abréger ses souffrances qui avaient duré trop longtemps, ce que tu fis. Tu t'étais approché, elle n'avait pas bougé, trop tétanisée. Entre temps tu avait attrapé un torchon que tu enroulas, puis tu l'avais étranglé jusqu'à la mort, sans aucuns regrets. Tu avais préféré la sauver en la tuant. Malgré tout tu décidas de faire passer ce carnage pour un meurtre de quelqu'un d'autre. Tu effaças tes empreintes comme les racailles du coin t'avaient appris puis tu t'auto-mutila avant d'aller te cacher dans une armoire après avoir passé un appel à la police.

La tragédie de la famille Saito fut classée comme cold case, un horrible meurtre perpétré par un fou qui courait toujours dans la nature. Personne ne t'avait soupçonné et tu en étais fier, jouant dès lors une position de victime avec la police et les enquêteurs. On te plaça en soins psychologiques quelques semaines avant de te laisser tranquille. Tu prétendis avoir des amis chez qui vivre en attendant de pouvoir te débrouiller, bien que ton petit ami ne voulut plus rien savoir de toi après cet incident et te laissa tomber, ce qui te mis un gros coup au moral. Pourtant, tu ne pu te résoudre à pleurer. Si lui aussi t'abandonnait dans ce cas, pourquoi ne pas le supprimer également? C'est ce que tu fis, sans aucuns regrets. Mais cette fois tu décidas d'être inventif et de faire passer ton meurtre pour celui d'une goule, en y mettant toute la violence possible et imaginable. C'est ainsi que commença ta triste carrière de tueur.

Pourtant en apparence, tu restais quelqu'un de 'normal' malgré tes cheveux que tu pus te remettre à teindre et laisser pousser et tes piercings. Sociable, agréable mais sans te laisser marcher sur les pieds, tu avais même fini par ouvrir un salon de tatouage/perçage dans le 14e District. Mais régulièrement, tu continues de tuer sur le schéma d'une goule, principalement des hommes que tu dragues soit dans ton salon, soit dans des bars gays ou devant des boîtes de nuit. Il t'arrive aussi de le faire avec des femmes, étant donné que tu n'assumes pas ton homosexualité et préfère la cacher aux yeux de tous. Ton petit plaisir est également de stalker, suivre des personnes qui n'ont rien demandé et les rendre paranoïaques à souhait. Tu ne sais pas exactement pourquoi tu fais tout ça mais une chose est sûre; t as l'impression d'être plus vivant que jamais avec tes activités.

Pseudo : Sushi Okita
Âge : Lololol
Comment es-tu venu ici ? : C'est le reboot d'un reboot... Bref compliqué /PAN
Tes impressions : 8D
Code du règlement : Tacru
Une dernière pour la route : Allez la binouze du samedi soir~

Invité
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