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Rumeurs
x On aurait aperçu Jezabel faire une déclaration d'amour à un lampadaire suite à une soirée trop arrosée... x Il paraît que le GDN (Gang Des Nains) composés de Renji, Caïn et Eto organiserait la contre-offensive pour prouver que ce qui est petit est très dangeureux. x Apparemment, les dangereuses personnes que sont Clyde, Kohaku et Jezabel ont l'intention de créer une nouvelle religion, basé sur le St PapierBulle. Je n'en connais pas les détails, mais doit-on craindre pour nos vies?
Cette fois-ci, Elwyn n’avait rien à faire. Ce qui était assez rare puisque le jeune homme était toujours débordé, quelque soit l’heure de la journée ou de la nuit. Mais ayant une organisation redoutable, il avait pu enfin terminer de faire ses comptes, et en avait profité pour se balader un peu. L’air frais, cela lui faisait du bien. De plus, il avait troqué ses habits décalés par des vêtements normaux, du genre jeans, haut à manches longues et veste. Même lui ça le surprenait d’avoir eu ça dans son placard, mais prévoyant comme toujours, il avait dû l’acheter il y a un moment. Dans tous les cas cela ne lui déplaisait pas.
Quitte à être dans la normalité, il décida de faire une sortie qui lui changerait les idées, se faire plaisir pour une fois avec autre chose que des bouquins qu’on pourrait qualifier « d’intello ». Souvent, l’albinos s’amusait à regarder les autres, autant que les autres ne le regardaient d’ailleurs, pour savoir ce que les jeunes plutôt de son âge faisaient. Après tout, ils n’étaient pas dans le même monde, et Elwyn avait grandit trop vite sans prendre le temps de profiter de ses années d’adolescent. Aujourd’hui, il ne veut même plus entendre parler de ce temps-ci.
Le jeune anglais entra dans une librairie, saluant poliment les gens déjà présents comme il le faisait à son habitude. Cette fois, personne ne le regardait bizarrement et ce moment de répit faisait vraiment du bien au moral. Enfin il n’était plus considéré comme une bête de foire ou même comme une anomalie, bien que souvent, le petit peuple considérait ces deux choses comme une seule et même chose. Il poussa un léger soupir en allant voir ce qu’il se faisait, se surprenant rapidement à chercher de la littérature anglaise, et il en vint à se dire que son pays lui manquait.
Anglais un jour, anglais toujours, Elwyn aimait beaucoup son pays pluvieux. Contrairement aux gens, lui il préférait la pluie, entendre les pluies battre contre les carreaux froids des fenêtres le calmait énormément, ce qui était surprenant, mais l’albinos avait ses techniques bien à lui pour se détendre et ce son qui en énervait plus d’un avait un effet reposant sur lui. Le jeune homme était fier de son pays, c’était tout ce qu’il avait à en dire, et penser à ça lui arracha un léger sourire.
La personne à côté de lui le regarda bizarrement, après tout il souriait tout seul comme un débile, mais ladite personne lui donna un léger coup de coude pour attirer son attention, en lui demandant de lui attraper le livre qui se trouvait bien hors de sa portée. Ne pouvant pas refuser ça, Elwyn attrapa le bouquin pour le tendre à la personne avec un sourire tout à fait sympathique, ce qui ne manqua pas de faire rire l’autre personne, lui faisant hausser un sourcil. Il avait une sale tronche en souriant comme ça ou quoi ? Décidément les humains étaient bizarres.
Après avoir fini ses emplettes, et surtout n’avoir rien acheté parce que rien ne le tentait, il quitta la librairie pour retrouver l’extérieur, toujours autant fréquenté et se glissa dans la foule tranquillement, continuant d’observer ce qui l’entourait, à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose qui pourrait attirer son attention. Du genre un humain qui sortait du lot, qui se trahissait par une action mauvaise, comme le vol d’un sac par exemple, et pour qu’il puisse se nourrir. Cela faisait plusieurs jours qu’il n’avait rien dans le ventre à force de travailler comme un forcené et la faim se faisait vraiment ressentir, même s’il carburait au café depuis plus d’une semaine et que ça arrivait à le tenir.
L’albinos savait se tenir mais il y avait un moment où une goule avait vraiment besoin de manger, et cela faisait un moment qu’il n’avait pas ressenti une faim pareille. Il avait tout fait pour la contenir, l’oublier, mais maintenant il ne pouvait plus, il fallait qu’il mange. Toujours avec discrétion, il commença à suivre un type qui lui semblait louche, de loin, voulant le coincer dans une ruelle. Au bout de longues minutes à marcher de plus en plus vite sur le pavé, l’albinos réussi à coincer le type qui s’était senti suivre au bout d’un moment. Elwyn le regarda fuir, à l’entrée de la ruelle. Ce n’était pas un cul-de-sac, alors l’autre pourrait s’enfuir, et il poussa un soupir.
Même s’il l’avait voulu, est-ce qu’il aurait pu tuer cet humain sans savoir s’il avait commit un crime ou non ? Il n’en savait strictement rien, mais une chose était sûre, c’était contre ses principes moraux. Le jeune homme s’engouffra dans la ruelle pour soupirer de nouveau en s’adossant au mur, et se laissant glisser au sol. C’était bien une des rares fois où il va rester dans un endroit à la propreté et l’hygiène douteuses. Elwyn posa ses yeux rouges si particuliers sur un tout jeune chat qui vint se frotter à ses jambes. Il tendit la main pour lui caresser la tête, observant son pelage crasseux, ayant de la peine pour ce chaton.
« C'est triste de se dire qu'il reste quand même des créatures qui continuent de mourir de faim alors que d'autres sont sur la paille... »
Ça lui allait bien de dire ça, mais lui au moins, il respectait les êtres vivants. Peut-être qu'il avait de l'argent, mais il ne le dépensait pas en conneries comme d'autres. Et lui au moins, n'abandonnait pas ses animaux. Vive son sens moral. Il sentait le chat ronronner et ça le faisait doucement sourire. Il ne pouvait pas laisser ce chat tout seul mais s’il le ramenait, Pumpkin et Merry allaient le massacrer, Larry étant trop un gros lard pour s’occuper d’autre chose que sa gamelle et son coussin. Pourtant il ne fit pas grand chose pour faire fuir ce chaton, et Elwyn tourna la tête sur sa gauche, pour observer l’entrée de la ruelle. Si l’animal avait pris peur, c’était qu’il y avait quelque chose ou quelqu’un. De la manière dont il était, l’albinos avait l’air d’un clochard mais il était trop propre sur lui pour vraiment le paraître. Tout de suite, le gallois se mit sur la défensive.
Crazy frog and Grumpy catavec Elwyn (le buveur de thé)
-What a fan boy?
Viktor se réveilla avec un mal de crâne qui lui força à prendre un antidouleur. Il se demanda ce qu’il pourrait faire, il doit récupérer son matériel auprès des yakuzas du 18e arrondissement. L’idée de sortir dans la ville pour aller chercher son matos lui plaisait guère, mais il n’avait pas le choix. Il sait qu’il doit être armé au cas où, mais personne ne le connaît au Japon que pouvait-il craindre, les flics ? Cette simple pensée le fait rire. Au bout d’une heure, il décida qu’il ira repérer les lieux de transactions potentielles pour marchander avec les mafieux.
Si il doit sortir pour faire du repérage autant le faire dans des habits souples et simples, il s’habiller avec son jogging noir et commença à sortir de sa chambre d’hôtel quand il rencontre le réceptionniste, il l’interpella pour qu’elle lui indique le moyen le plus simple pour rejoindre le 18e arrondissement. En sortant de son hôtel, il fut ébloui par la lumière du soleil. Sur le coup, il se demande qu’elle heure, il est. Il commença à suivre les indications que le réceptionniste lui avait indiquées.
Après avoir atteint le 18e grâce au métro, Viktor décida de commencer à observer tout ce qui l’entoure, les personnes, les bâtiments, les agencements des rues. Quelque pas après avoir passé une librairie Viktor se sentit suivi, pour semer son poursuivit, il commença à accélérer sa marche, il passe dans des ruelles dont il se surprit à prendre des chemins qu’il ne connaît pas. À l'intersection d'une ruelle Vik observa à un pauvre chat errant sur un mur et se rapproche de lui.
« Désolé chaton, mais je vais besoin de toi. Tu veux bien ? »
Le chat miaula pour lui répondre. Viktor donna un violent coup de poing dans le mur pour faire sursauter le chat et Vik parti dans la ruelle sombre pour trouver de quoi se défendre, une barre de fer, un couvercle de poubelle tout ce qui pouvait être contondant au cas où la personne soit une goule.
« Qui va là ? »
À la prononciation de ces mots Viktor commença à chercher un moyen de contourner le contact visuel direct pour avoir l'effet de surprise. Par chance, il y avait une autre ruelle qui amené sur une rue parallèle à l’endroit où il se trouve. Il prend cet agencement pour avoir l'avantage et grâce à Dame fortune Viktor trouva un pied-de-biche et lorsqu'il le ramassa, il se demande ce qu'il faisait là, mais il n’alla pas cracher sur cette occasion. Il arrive dans le dos de son poursuivant discrètement. Viktor ralentit la vitesse de ses mouvements pour générer le moins de bruits possible. Il s’arrêta un moment pour observer son poursuivant, un homme certainement européen et il a les cheveux blancs. Viktor plaqua le pied-de-biche de manière que la gorge de son poursuivant soit écrasée.
« Je ne sais pas qui tu es et à vrai dire, j'en ai rien à foutre, mais si il y a une chose que je déteste, c'est d'avoir des fanboys qui me suivent partout où je vais. Je te laisse une seule chance de t'en sortir alors saisi là. »
Mais sans se rendre compte, Vik prononça ces mots avec son magnifique accent français.
* petite note pour dire que je suis désolé du manque de contenus, mais pour le coup j'ai mis du temps pour faire que ça, j'ai eu beaucoup de mal à trouvé une idée obligeant Vik à venir et à se faire traquer. dsl '^'*
Le chat était parti, et Elwyn n’obtint aucune réponse. Il observait l’entrée de la ruelle d’un air méfiant, en se disant que peut-être, il avait rêvé. Ce ne serait pas la première fois d’ailleurs que cela arrivait, mais là ça lui faisait peur. Si l’albinos commençait à détecter des présences invisibles, alors cela voulait dire qu’il avait besoin de beaucoup plus de sommeil, parce que cela n’allait plus du tout. Quelle ne fut pas sa surprise quand il sentit du mouvement dans son dos, avant que quelque chose ne se plaque sur sa gorge brusquement, et qu’il entende quelqu’un parler.
Sa surprise fut plus grande en écoutant ce type qui visiblement l’agressait. Il parlait de fanboy, qui le suivait… Hein ? Le gallois ne comprenait pas un traître mot de ce qu’il disait, mais une chose était sûre, c’est que ce type n’était pas japonais. Cela s’entendait. Il avait un accent… Français. Argh. Un FRANÇAIS. Non, Elly n’aimait pas les français, et alors ? Ce n’était pas de part sa nature de britannique, mais parce que son père avait prétendu que ses agresseurs étant adolescents qui l’avaient enlevé étaient français.
Malgré la pression qu’exerçait le type avec ce qui semblait être une barre de fer, ou peut-être un pied de biche, Elwyn était plus fort que lui et il le fit passer par-dessus son épaule, pas de la manière la plus délicate qui était, en grondant. C’est bon, le fait de savoir que l’autre avait un accent français, qu’il était potentiellement un bouffeur de grenouilles, ça l’énervait d’emblée. C’est grand pourtant le Japon, alors POURQUOI tomber sur un français ? Quoique il était bien tombé sur un anglais une fois… Enfin un demi-anglais. Mais c’était différent.
« Je ne te permets pas de m’agresser comme ça. J’étais là avant toi à ce que je sache, alors je ne vois pas pourquoi je t’aurai suivi. »
L’albinos observa le brun devant lui en le jaugeant du regard, pour voir s’il était potentiellement dangereux. A l’odeur, Elly se disait qu’il n’était pas une goule pour lui, ce qui lui donnerait un certain avantage. Maintenant c’était à lui de ne pas se trahir en tant que goule, parce que ce serait fâcheux. Bien qu’il ait réussi à se dissimuler jusque-là, alors pourquoi se trahirait-il maintenant ? Du moins c’était ce qu’Elwyn essayait de se dire. Sous un coup de nerf, ça pouvait partir.
Elwyn savait se contrôler, il avait été élevé dans cette optique, et de nature calme, ce n’était pas non plus un souci. Toujours observant le type, il croisa les bras. Le gallois n’était pas baraqué, mais en tant que goule, il avait un avantage. Pourtant le jeune homme n’était pas un violent alors s’il en venait aux poings, c’est qu’il y avait un petit problème.
« Pourquoi tu m’agresses ? Uniquement pour ça ? Je savais que les français avaient un grain mais avec toi, ça me le confirme… »
Oui, Elly exécrait les français. Cela pouvait donner le bénéfice du doute quand à sa propre nationalité, en plus de son léger accent anglais qu’il essayait de dissimuler, mais là c’était trop tard à vrai dire. Maintenant, le tout c’était d’agir pacifiquement. Enfin, le plus pacifiquement possible après ce qu’il venait de se passer. Autant remettre les choses à plat non ? C’était la meilleure chose à faire pour ne pas se sauter dessus tel un chien et un chat qui ne pouvaient pas se blairer.
« Bon… Reprenons, avant que les choses ne s’enveniment. Je ne te suivais pas. A toi de me croire ou non, mais tu te méprends alors du calme. »
Tout en disant cela, l’albinos avait levé les mains en signe de paix. Il fallait tout de suite mettre leur nationalité de côté sinon ça allait très mal se passer, mais si c’était lui qui commençait, alors Elly n’aurait pas de scrupule à répondre. Tout reprendre depuis le début, c’était ça. Ne pas se montrer hostile, rester le plus naturel possible, pour ne pas se trahir immédiatement.
Crazy frog and Grumpy catavec Elwyn (le buveur de thé)
-What a fan boy?
Viktor fut surpris que le type aux cheveux blancs arrive à le faire passer par-dessus son épaule. Il arrive à se rattraper rapidement. Viktor observa plus précisément son interlocuteur, un albinos au style vestimentaire singulier, mais cela ne semble pas le choqué, après tout chacun s’habille comme il en a envie. L’albinos est un peu plus petit que Vik, rien qui puisse permettre de lui donner le surnom diminutif.
« Je ne te permets pas de m’agresser comme ça. J’étais là avant toi à ce que je sache, alors je ne vois pas pourquoi je t’aurai suivi. »
Les mots de l’albinos font sourire le français, en effet son interlocuteur vient de lui donner l’information qu’il avait besoin. Viktor avait un poursuivant albinos aux fesses. Soit, mais pourquoi ? C’est une des questions que la grenouille se pose. Son opposant est-il une goule ? Va-t-il essayer de manger Vik ? Cela n’est pas impossible, il y a des goules partout dans le monde, par contre pourquoi on-t-elles toujours l’ancien braqueur dans leur collimateur ? L’albinos croisa ses bras avant de continuer.
« Pourquoi tu m’agresses ? Uniquement pour ça ? Je savais que les français avaient un grain mais avec toi, ça me le confirme… »
Cette phrase titilla Viktor, normalement les japonais ne connaissent pas ce stéréotype sur les grenouilles. À vrai dire, il n'y a que dans un seul pays qu’il y a ce cliché. L’Angleterre. Donc l’albinos serait anglais. « Ahhhh. Intéressant. » Ce dis Vik. Les anglais ne supportent pas les français. Vik a connu cette discrimination que trop bien. La simple idée que cet anglais soit une goule le fait rire, contrairement à d’habitude, il a oublié de prendre son masque.
« Bon… Reprenons, avant que les choses ne s’enveniment. Je ne te suivais pas. A toi de me croire ou non, mais tu te méprends alors du calme. »
Vik réfléchis un moment avant, il fait passer sa langue dans sa bouche avant de décider à parler. L’albinos parle en japonais, soit, Vik décide de s’exprimer lui aussi dans la langue du soleil levant, cependant, il reste sur ses gardes, tout en moulinant dans l’air avec le pied de bouche.
« Soit. Dis-moi ce que tu fais ici et je baisserais les armes. Cupcake. »
Viktor reste sur ses gardes au cas où et il fait bien. Des silhouettes surprennent Vik, cela se lit sur son visage. Lorsque ces silhouettes apparaissent à la lumière, le visage de l’ancien braqueur se décrispe. Il tend la main qui ne tient pas le pied-de-biche et fait des petits gestes de cette main.
« Minouminouminouuuu. Viens là petit père. »
Des chats commencèrent à les entourer. Vik fut surpris de voir le chat à qui il a fait peur se frotter sur l’albinos. Cela étonne la grenouille, mais sans plus, il pose le pied-de-biche au sol et lève les mains, comme son interlocuteur.
« Bien parlons. Ne traumatisons pas ces gentils petits félins. »
Viktor ne déteste pas les anglais, seul les préjugés qu’ils ont envers les français l’énerve. Il sait que les siens ont toujours été considérés comme des sauvages. Oui, mais des sauvages libres. La grenouille regarde son petit cupcake albinos droit dans les yeux tentant de discerner la moindre chose qui pourrait lui donner un avantage. Toujours au cas où.
*J'ai mis plus de temps pour répondre, car je voulais mettre des détails, mais au bout d'un certain temps ces détails m'on énervé et je les ai enlevés et bizarrement, ce fut plus simple.*