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La Llorona ♦ Para ti no hay salvación...

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Tachibana Hairi
Rang S || La Llorona
Tachibana Hairi
Tachibana Hairi
Messages : 14
Date d'inscription : 08/09/2015
Mar 8 Sep - 3:18


I. LE PERSONNAGE.


• NOM : Tachibana
• PRÉNOM : Hairi
• SURNOM : La Llorona
• GENRE : Femme
• ÂGE : 19 ans
• TYPE DE KAGUNE : Rinkaku
• KAKUJA : Scorpio [À développer inRP]
• GROUPE : Goules
• ORIENTATION SEXUELLE : Pansexuelle
• AVATAR : Hatsune Miku | VOCALOID


II. LES DESCRIPTIONS.


MORALE
Hehe... Difficile de décrire un être qui ne saurait même pas se décrire lui-même, non ? La Llorona, ou de son prénom humain, Hairi, est une goule hautement étrange au caractère très difficilement cerné avec précision. Il est quasiment impossible de la décrire tellement elle ne se fond pas avec la masse au niveau de sa personnalité, de sa morale et de sa façon de réfléchir. Parce qu'elle n'a pas été élevée comme les autres enfants goules, qui pour la plupart apprennent à agir de façon presque humaine afin de se cacher. Nan, elle n'a pas eu cette chance.

Hairi, elle a été élevée par des psychopathes pour devenir une psychopathe. Il n'y a pas plus simple comme explication. Elle a une façon de raisonner bien à elle, que des gens normaux ne daigneraient même pas tenter de comprendre tellement son esprit est rempli d'idées glauques et détraquées. Et je parle d'idées détraquées au sens qu'elle est très créative lorsque vient le moment de tuer, humain ou goule, qui aura l'heureux titre de 'jouet' à ses yeux. Bien qu'en fait 'heureux' ne serait pas vraiment le meilleur terme à employer dans une telle situation...

Non, en fait le malheureux qui aura été trop malchanceux pour finir entre ses griffes, doit immédiatement savoir qu'il ne reverra plus jamais la lumière du jour. Tortures inimaginables s'ensuivent, que je vais éviter de mentionner ici parce que avouons-le, on veut pas savoir. Et finalement, lorsque La Llorona aura décidé qu'elle en a assez de sa victime ou que cette dernière est trop endommagée, eh bien, elle vous noie, puis broie les vertèbres de votre cou avant de vous dévorer, tout simplement. Pour s'assurer que son repas ne protestera pas lorsqu'elle laissera ses dents mordre dans les chairs tendres qui servent à la nourrir et la garder en vie. Cependant... vous n'aurez certainement pas la joie de vivre de tels instant auprès de la jeune femme, car depuis longtemps, ses victimes favorites sont les enfants... les tous petits surtout. Mais bon, dès qu'ils ont l'air d'être des gamins de moins de 12 ans, elle est preneuse. Faites vos adieux à vos gosses si vous entendez des rumeurs comme quoi elle est dans le coin...

Très créative, oui, ça on l'a déjà établi dans les bases de sa personne. Mais aussi, il faut savoir que 'dérangée' serait un mot parfait pour la décrire. Non seulement préfère-t-elle la chair tendre des enfants dans son assiette, qu'ils soient des enfants goules ou humains, elle s'en fiche. Mais Hairi, la pauvre Hairi, elle est du genre à ne pas comprendre les émotions des gens... et ça l'amuse. Elle ne comprend pas la tristesse, la joie, le rire et la colère, bien qu'elle ressente ces émotions de temps en temps et qu'elle le montre. La preuve, elle rigolera dès qu'elle sera seule si elle croise des gens qui pleurent au-dessus des cadavres des enfants qu'elle dévore et qu'elle laisse où elle les avait tués. Elle en rigolera, tout comme elle l'a fait lorsque ce fut le cas avec ses propres enfants. Vous comprendrez cela plus tard.

Avec le temps cependant, la jeune goule apprit à se fondre dans la masse, à cacher sa folie des yeux des autres et à agir plus ou moins normalement. Elle ne ressort son côté psychopathe que lorsque l'on parle d'enfants en sa présence, ou lorsque la faim, aussi minuscule soit-elle, la prend. Et là c'est l'envie de tuer qui prend le dessus. Et elle ne résiste jamais à l'appel de la tuerie, créant massacre après massacre, laissant sur son chemin une traînée cramoisie du sang des enfants innocents qu'elle aura mangés.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, il est assez aisé de raisonner avec La Llorona. Du moins, lorsqu'elle n'est pas sous l'influence de son côté fou. Elle peut s'avérer étrange bien sûr, mais elle a un bon fond malgré tous ces meurtres qu'elle a commis et qu'elle continuera de commettre. Ses réactions à certaines choses peuvent même être assez comiques, puisqu'elle ne connaît pratiquement rien de tout ce qui est humain ou 'normal'.

Mais bon... la personne 'normale et rationnelle' en elle ne ressort que rarement...


PHYSIQUE
Hairi est une jeune femme bien normale physiquement, à la figure en sablier assez mince sans pour autant en avoir l'air anorexique. Elle est assez petite, mesurant au plus 1m65 de hauteur. Ses attributs féminins sont bien développés, pour des raisons que vous saurez plus tard. Ses bras et jambes sont longs, courbés aux bons endroits et plutôt minces aussi. Puis en général elle est de faible corpulence bien que cette apparence cache en fait une goule très puissante et qui ne cesse de gagner en force.

La Llorona possède de doux yeux bleus, bleus comme le ciel qui deviennent rouges dès qu'elle utilise son kagune ou qu'elle ingère de la viande humaine/goulesque. De doux yeux, qui peuvent très rapidement devenir ternes et fous dès que l'une de ses phases psychotiques prend le dessus sur sa raison. Malgré son âge, son visage donne l'impression qu'elle est beaucoup plus jeune qu'elle ne l'est vraiment, surtout avec ses airs de gamine qui lui viennent naturellement lorsqu'elle se force à se mêler aux autres. Sur sa tête pousse une étrange touffe de cheveux azurés complètement naturels, sans teinture ni rien, qui est si longue qu'ils lui atteignent facilement le dos des genoux et qu'elle coiffe en deux queues de cheval de chaque côté de sa tête.

Elle s'habille de façon assez normale, portant souvent des robes et des vêtements de couleurs ternes pour ne pas trop ressortir du lot.

Niveau battlesuit, Hairi porte une combinaison moulante qui lui laisse le dos dégagé, légèrte et faite d'un tissu qui suit très bien ses mouvements. Elle est blanche et noire. (Z'avez qu'à imaginer Hatsune Miku APPEND et voilà, battlesuit '-' /PAN) Elle arbore également un masque blanc au relief de son visage, avec les yeux découpés afin que ses kakugans soient visibles, avec deux larmes de saphir incrustés sous les trous des yeux.

D'ailleurs, détail étrange, mais son Rinkaku est d'une couleur bleue saphir... et c'est à peu près tout ce qu'il a de particulier.


III. L'HISTOIRE.




Pourquoi... ? Pourquoi tout cela dût m'arriver, à moi, la petite fille qui n'avait jamais demandé quoi que ce soit à mes parents, qui avait toujours été sage et qui n'avait jamais représenté de menace envers qui que ce soit ? Pourquoi mon avenir, maintenant passé, fut-il aussi sombre ? Je ne savais pas qu'un jour, on me surnommerait La Llorona, la femme qui pleure. Est-ce un titre qui me va bien... ? Peut-être... Je ne sais pas.

Je me souviens clairement de ce jour où j'ai été enlevé. Toute gamine encore, je ne savais pas ce qui se passait à ce moment. Il y avait des gens, des inconnus qui étaient entrés dans notre maison, avaient volé des objets de valeur, avaient pris tout ce qu'ils avaient pu prendre. J'étais avec ma maman ce jour-là. Je me souviens d'avoir vu ses yeux paniqués, son visage crispé tellement elle avait peur. Je me souviens que j'avais peur, moi aussi. Mais elle devait la ressentir encore pire que moi, même si je ne le savais pas. Ce jour-là, elle, ma maman, m'avait vue pour la dernière fois. Et moi j'avais vu ma maman pour la dernière fois de ma vie. Mes souvenirs sont flous de l'époque où je n'étais qu'un petit bébé, une goule qui n'avait encore rien fait de mal envers le monde et qui aurait pu ne pas en faire si ces gens ne m'avaient pas emportée avec eux.

Je me souviens avoir été enfermée avec d'autres fillettes dans une pièce sombre et étroite, l'endroit exact je ne m'en rappelle pas. Tout ce que je sais, c'était qu'à ce moment, je n'étais pas seule. Mais l'envie de pleurer m'avait étreint le coeur tellement fort que ce furent des sanglots silencieux qui me secouèrent, et mes larmes coulèrent par elles-mêmes. Je ne comprenais rien. Toutes ces filles, moi, pourquoi étions-nous toutes ici ? Qu'allait-on faire de nous ? La peur m'avait prise, je m'étais blottie contre l'une de mes camarades d'infortune, une fillette plus âgée que nous qui m'avait serrée dans ses bras sans même questionner la raison de mon action. Et j'ai pleuré. J'ai pleuré parce que j'avais peur. Parce que je savais d'instinct que jamais je ne reverrais ma famille. Parce que ma maman devait être toute aussi effrayée que moi, et qu'elle avait certainement déjà dit à mon papa que quelque chose était arrivé.

Des semaines, voire des mois on nous garda dans l'obscurité totale. On nous nourrissait de temps en temps... Et j'ai bien vite compris que les fillettes qui m'accompagnaient étaient, elles aussi, toutes de petites goules, comme moi. C'était triste à voir... Mais ma nouvelle amie, Yukki, arrivait toujours à me remonter le moral. La situation était dangeureuse, certes... mais elle arrivait à me redonner le sourire. Et ce fut comme cela jusqu'à temps que, une par une, les fillettes se mirent à disparaître.

Yukki et moi, on n'a jamais compris ce qui était advenu des fillettes qui disparaissaient ainsi. Les intervalles entre les disparitions étaient irréguliers d'ailleurs, allant de quelques jours à des mois sans qu'une autre victime ne soit faite. Et quand finalement il ne resta plus que quelques-unes d'entre nous... Selon ce que m'avait dit Yukki à l'époque, on avait déjà passé trois ans ici. J'avais maintenant 15 ans.

Bon... vous vous dites certainement que cette histoire est peu touchante. Peu émouvante. Mais attendez... c'est que le pire n'est pas arrivé encore.

Nous étions six jeunes filles, dont Yukki et moi, à demeurer. Plus une seule d'entre nous ne disparut par la suite. Nous fûmes tranquilles pendant quelques temps... mais cette paix ne dura pas, et bientôt vint le début de ce que nous connaissons maintenant comme étant l'Enfer sur Terre.

Dire que l'on a été traîtées comme des esclaves serait très peu dire comparativement à tout ce que nous avons vécu. Tortures en tous genre, mauvais traitements, travaux forcés... Et tout cela infligé sur nous par d'autres goules, plus âgées et, bien sûr, mâles. Des hommes qui prenaient plaisir à nous voir souffrir, travailler comme des forcenées à journée longue alors qu'eux ne faisaient rien d'autre que de se réjouir de nos souffrances. Eh oui ! Ça existe ce genre de trucs dans Tokyo. Parce que si je me souviens bien, nous avions été emmenées au district 24... soit le district des goules, dans les souterrains, où les lois humaines ne s'appliquent pas et que ces monstres ont le droit de faire ce qu'ils veulent. Et par 'ce qu'ils veulent', c'est vraiment ce qu'ils veulent qu'ils font.

Et bientôt ce fut les abus sexuels qui débutèrent. On se mit à nous toucher de façon inappropriée, à nous susurrer des mots dégueulasses à l'oreille alors que l'on ne s'y attendait pas. Et comme nous n'avions jamais appris à générer nos kagunes, les autres filles et moi, nous étions complètement impuissantes face à ces hommes. Surtout à notre âge... nous étions plus que vulnérables. On ne pouvait rien leur refuser... Puis même si nous tentions de refuser, ils nous forçaient à obéir d'une manière ou d'une autre.

C'est ainsi que je me suis retrouvée enceinte à 15 ans, bien que bientôt, j'en aurais 16. Yukki et les autres avaient eu de la chance; par miracle, elles avaient pu éviter une telle chose. Mais je n'avais jamais su comment faire; ç'avait été si soudain, j'étais tellement en panique que je ne réfléchissais plus. Et ce qui devait arriver se produit inévitablement. J'imagine que c'était l'intention de l'homme qui m'avait pris mon innocence de force, d'ailleurs; chaque fois qu'il passait tout près, et qu'il voyait mon ventre grandissant... Il avait l'air satisfait. Comme un homme regarderait un trophée de chasse. Je n'aimais pas ça. Pas du tout.

Peu à peu mon esprit se fana. Mes yeux devinrent ternes, selon ce que mon amie de l'époque me disait. Je n'étais plus la même. Comment veux-tu que je demeure la même personne après tout ce que nous avons subi ? Après tout ce que l'on m'a fait subir ? Je ne sais pas. Je ne veux pas savoir. Tout ce qui m'importait à ce moment, c'était de trouver une façon de m'échapper malgré que je ne pouvais utiliser mon arme la plus précieuse. Je devais m'évader, ou je deviendrais certainement folle. Je le savais. Je le sentais.

Des mois plus tard, quand finalement j'eus abandonné tout espoir, l'enfant que je portais naquit en ce bas-monde infesté de goules aux intentions malsaines. J'avais tellement souffert, tellement crié, que j'en avais perdu ma voix; à la satisfaction de l'homme que mon enfant apprendrait à appeler 'papa' au fil du temps. Mais mon esprit devenu tout aussi malsain que celui de mes geôliers ne le laisserait pas faire. Oh que non.

Je m'entraînai comme je le pus, voulant devenir plus forte, plus endurante, plus, tout simplement. Je voulais perdre l'infime part d'humanité qui demeurait ancrée dans mon coeur. Et un an plus tard, ce morceau d'humanité pu enfin disparaître, et c'est à ce moment que l'on commença à me surnommer La Llorona.

Her screams light up the night
Her face fills you with fright
And still with all her might
She yearns to make things right...


Je me souviens avoir crié comme une dérangée, avoir chargé sur l'homme en question à pleine vitesse dès que j'en ai eu l'occasion. Mais je n'avais pas prévu un élément clé dans cette équation. Mon plan était de tuer l'homme qui m'avait tant fait souffrir ces dernières années. Mais je ne m'étais pas attendue qu'il ait l'enfant dans ses bras. Oh combien j'aurais voulu réparer cette erreur...

«They're gone, They're gone!» she yells
So on, so on, church bells
Of tears and salt she smells
There are no last farewells, farewells...


J'avais déployé mon kagune aux couleurs si étranges pour son type aussitôt que j'avais vu mon ennemi. Je l'avais attaqué. Je l'avais décapité au moment où il avait laissé tomber l'enfant dans un ultime effort pour se protéger. Le petit s'était mis à pleurer. Sur le coup de la folie, je n'avais pas su quoi faire... alors je m'étais empressée de quitter l'endroit, et trouvant une source d'eau à quelques pas de là... J'ai commis l'irréparable. J'ai noyé cet enfant de malheur.

Ce n'était pas ce que j'aurais dû faire, j'en suis consciente maintenant. Mais je l'avais fait parce que je ne savais plus quoi faire. L'enfant m'avait vue faire et il aurait probablement été dire aux autres de nos capteurs que je m'étais échappée et que j'avais tué son père. Alors je n'ai pu faire autrement que de taire la menace. Je l'ai amèrement regretté sur le coup. En revenant à moi j'avais éclaté en sanglots. Je ne voulais pas croire que j'avais tué ce petit. Lui ne m'avait rien fait pourtant... mais je l'ai tué quand même. Et en y repensant... j'y avais pris plaisir. J'avais aimé tenir la tête de cet enfant sous l'eau jusqu'à temps qu'il ne cesse de se débattre. Mais... je savais que c'était mal. Ou était-ce vraiment mal ? Après tout... je ne faisais qu'éliminer le résultat d'un viol qu'on avait commis à mon égard. Ouais. C'était ça qui venait de se passer. Et comme toute goule l'aurait fait, j'ai sauté sur l'occasion pour dévorer le corps inerte de l'enfant. Ses chairs tendres et fondantes.

Et j'ai adoré. C'était comme ma nouvelle drogue.

Avec ma folie, je n'avais jamais réalisé qu'en partant, j'oubliais complètement Yukki et les autres, je les abandonnais aux mains de ces goules mauvaises du district 24. Honnêtement, je m'en fous maintenant d'avoir fait une chose aussi horrible, je suis simplement heureuse de m'être échappée de là. J'ai erré dans la ville de Tokyo pendant les deux années qui suivirent, jusqu'au jour actuel. À tous les coups, lorsqu'on parlait de massacres d'enfants dans les médias, c'était en mentionnant une goule que l'on surnommait La Llorona. La femme qui pleure. Parce que oui... étrangement, chaque fois que je tue un enfant, j'en pleure. Des larmes qui ne sont ni de joie ni de tristesse, mais de satisfaction, parce que j'ai bien mangé.

On parle de moi comme d'un être cruel, sans pitié ni scrupules. Peut-être le suis-je, en réalité. Je ne le sais plus moi-même. Un monstre ? Une goule ? Une humaine ? Non... pas humaine. Ça se joue entre la goule et le monstre dans mon cas.

Quand je suis seule, cependant, je suis une toute autre personne. Et oui, il m'arrive de pleurer de vraies larmes, en souvenir de tous ces enfants que j'ai tués. De cet enfant qu'était le mien que j'ai tué de sang froid dans l'espoir de me protéger. Et dans ces moments, j'ai l'impression de voir mon reflet, accroupi devant moi, qui tend la main vers moi et essuie doucement mes larmes. Et elle me dit, d'une voix douce;

La Llorona, que paso ?
Por qué lloras, mi amor ?
Y los niños, dónde están ?


Et moi de lui répondre, d'une voix toute aussi douce;

En el rio, duermen la...



« Crying woman, what's going on?
Your children, they have left
Why keep digging?
For you, there is no Salvation... »




IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

TON PSEUDO ? Hairi, Nagi, Amne... Etc. Yao
QUEL ÂGE ? 17 ans et toutes mes dents owo
COMMENT TU ES VENU ICI ? J'suis admin '-'
TES IMPRESSIONS ? Toujours aussi beau le fow *w*
UNE DERNIERE POUR LA ROUTE? ... dis-moi pas que je dois retourner sur la route je viens de passer deux heures dans une automobile D: /PAN


FICHE PAR FALLEN SWALLOW

Tachibana Hairi
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