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x Apparemment, les dangereuses personnes que sont Clyde, Kohaku et Jezabel ont l'intention de créer une nouvelle religion, basé sur le St PapierBulle. Je n'en connais pas les détails, mais doit-on craindre pour nos vies?

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Jeu 25 Aoû - 15:39

▬ Feat. Sougo Okita - Gintama

Nom : Iwasaki
Prénom : Koji
Âge : 18 ans
Nationalité : Japonais
Genre : Bruh
Orientation sexuelle : Bisexuel
Métier ou études : Officiellement lycéen en dernière année d'études, officieusement terroriste en herbe
Groupe : Suicide Circus, cracheur de feu

Iwasaki Koji
Caractère
« C'était pour le travail » vous annonce-t-il le plus calmement du monde alors que les flammes dévorent le bâtiment derrière lui. Vous vous demandez alors « C'est qui ce type pour rester aussi serein après une explosion pareille ? », une très bonne question ma foi.

Koji Iwasaki, lycéen de sa fonction officielle ne reflète pas vraiment extérieurement sa personnalité tordue dans tout les sens. Il est trop choupi kawaii desu nee, parlant doucement parce que la douceur c'est la vie. Il ne se fait pas remarquer non plus, du genre à rester dans son coin sans embêter personne et qui ne répond présent que lorsqu'on le demande. C'est un flegmatique de nature, souvent en train de pioncer dans des endroits improbables et sans se faire prendre lorsque ça lui arrive en cours. Il est poli, toujours le premier à proposer son aide et aussi à rire. Parce que rire c'est comme la douceur, c'est la vie. Du coup Koji n'hésite pas à faire des blagues, parfois de mauvais goût certes, mais comment en vouloir à un adolescent aussi choupinou que lui ? Alors on le laisse faire, on le laisse déconner parce qu'il est adorable et qu'en plus c'est un élève modèle. Oui il travaille bien, il a des bonnes notes et s'en sort bien au final. Il a l'ambition de devenir un jour chimiste, ambition qui risque fort de se réaliser s'il continue sur cette voie. Franchement, que demander de plus quand on collectionne un concentré élevé de kawaiitude, une facilité déconcertante à apprendre et les bonnes grâces de tout le monde ? La réponse est évidente voyons.

Du sang, des explosions et du feu.

Car oui, Koji vous mène par le bout du nez en jouant l'élève modèle. Certes la moitié de ce qu'il peut faire dans la lumière de la société n'est pas un mensonge, mais toute médaille a son revers. Et c'est le cas avec ce lycéen. Lui ce qu'il aime faire lorsque personne ne regarde, ce sont des expérimentations sur tout ce qui bouge, ou ne bouge pas d'ailleurs. La curiosité le pousse parfois dans le glauque extrême, mais il s'en fiche et le vit bien vu que c'est pour le travail. La justification ultime à toutes ses mauvaises actions. Concrètement, s'il veut savoir ce que ça fait quand on plante une série d'agrafes sur la peau de quelqu'un, il se cherchera une victime et fera son affaire comme s'il s'agissait de quelque chose de complètement normal et sain d'esprit. Il irait même jusqu'à dire au malheureux de souffrir en silence parce que ça l'empêche de réfléchir et faire correctement son boulot.

Le pire dans tout ça, c'est que Koji ne cache pas vraiment sa nature psychopathe. Seulement, il sait manipuler son monde pour qu'on ne le balance pas. Le brun est la terreur de certains de ses camarades, mais ces derniers n'osent rien dire à son sujet par peur de subir des tortures dépassant leur imagination. Des tortures que Koji menace lui même d'appliquer et en général avec ça il ne déconne pas. Demandez à la pauvre fille qui a osé une fois aller trouver un adulte pour parler de ses actions et qui gît désormais au fond d'un canal en train de nourrir les poissons. L'adulte en question n'a d'ailleurs pas tardé à disparaître après elle, étrangement.

La grande passion de ce lycéen, ce sont les armes. Les armes en tout genre, avec un faible pour les trucs qui explosent tout. Il en connaît pas mal à ce sujet et puis, il doit certainement être un peu pyromane sur les bords pour aimer des trucs pareils. Par quelques moyens obscurs et surtout parce qu'il vit seul en plus d'être membre du Suicide Circus, Koji a réussi à se procurer certaines armes explosives et à longue portée qu'il aime utiliser pour n'importe quelles raisons. Et je dis bien n'importe quelles raisons. On lui passe devant dans une file d'attente ? Grenade dans ta gueule au détour d'une rue. Un chat coincé dans un arbre ? On explose l'arbre et on récupère le chaton. Une fille refuse ses sentiments ? On l'explose et on récupère son coeu- WAIT NAN QUAND MEME PAS. Enfin bon, il n'empêche pas qu'il sait aussi utiliser ces armes à bon escient lorsqu'on le lui demande, surtout si l'ordre vient du cirque. En général il ne cherche pas à discuter les ordres d'en haut.

Enfin… Il respecte quand ça lui chante disons. Koji est assez insolent, avec à peu près tout le monde dans l'organisation et aime faire la sourde oreille pour ensuite dire qu'il avait mal compris ou qu'il n'avait pas entendu. C'est également un danger public et un suicidaire vu qu'il lui arrive d'avoir cette étrange pulsion de vouloir exploser amoureusement le chef ou toute personne proche de lui sans aucune putain de bonne raison. Koji n'est d'ailleurs que très peu réactif au danger quand il lui fait face. Là où certains crient et paniquent, lui il garde son calme et irait même jusqu'à dire qu'il va être en retard pour son anime du soir. Et quand il titille le danger, il trouve toujours un moyen de s'en sortir plus ou moins intact, que la menace soit une goule, le CCG ou n'importe quel type louche avec qui il aurait frayé par le passé et qui n'aurait pas aimé son comportement et son insolence. De toute façon, Koji assume ses conneries jusqu'au bout et prend un malin plaisir à en éviter les conséquences.

Les goûts et les couleurs avec lui ça se discute. Il faut dire qu'il aime pas mal de trucs douteux, surtout niveau culinaire. Comme pour ses tortures il aime tester de tout, voir ce que ça donne et s'il aime bien il garde la recette accrochée sur le frigo. On se retrouve alors avec des plats improbables tels les dragibus frits à la poêle avec du parmesan. Oui vous avez le droit d'aller vomir maintenant.

Ce qui fait le plus peur au final avec lui, c'est le calme qu'il garde peu importe la situation. C'est comme si sa personnalité de surface restait intacte tandis que son sadisme vient s'y mêler. Et le cocktail que ça peut créer est assez étrange voir dérangeant.  Une dernière chose avec lui : il aime beaucoup jouer à trou-trou avec un masque de repos sur les yeux. Le but du jeu ? Tirer au hasard sans viser au préalable pour faire le plus de dégâts possibles. On s'amuse comme des fous chez Koji-kun !
Physique

Koji n'a pas l'apparence de son emploi « secret », ça c'est un fait. Il fait trop innocent et adorable pour être sadique. A vrai dire il a juste l'air d'un enfant normal et on lui donnerait plutôt 15 ans que 18. Haut de ses 1m70, de sa stature plutôt normale pour quelqu'un de cette taille et avec sa bouille de bébé, il est vrai qu'il n'est pas bien impressionnant et a l'air plus pacifiste qu'autre chose. Enfin ça, c'est jusqu'à ce qu'on se prenne une grenade de sa part dans la tronche. D'un coup il devient beaucoup moins mignon étrangement.

A part ses yeux tirant sur le rouge, Koji aurait pu être une personne parfaitement normale (si on exclue aussi sa personnalité tordue). Il a des cheveux courts d'une couleur oscillant entre le châtain et le blond et a toujours des mèches dans les yeux. En revanche il y a toujours une chose qu'il cache, c'est cette cicatrice qui lui barre le dos, ainsi que quelques marques de coups qui sont restées malgré le temps. Il n'aime pas en parler et si d'aventure quelqu'un découvrait ces cicatrices il enverrait paître la personne sans chercher à discuter. Sa peau est relativement pâle également et il a plus ou moins de mal à supporter le soleil, qui entraîne parfois quelques rougissements notoires surtout à ses bras et ses pommettes.

Koji est propre sur lui, tout en demeurant dans la simplicité. Lorsqu'il ne porte pas son uniforme de lycée, un simple t-shirt sur un pantalon ou un short en été lui convient parfaitement. Parfois il lui arrive de porter un trois pièces, mais ça il le garde pour les grandes occasions. Il se balade également régulièrement avec des sacs à dos, utiles pour trimballer son artillerie lorsqu'il est d'humeur à aller exploser un truc. Ses poches sont également un véritable fourre-tout, allant des barres de céréales aux fioles d'acides en passant par le couteau-suisse.

Il a également souvent sur la tête un masque de nuit rouge avec deux yeux larges ouverts comme motif. Ca c'est juste parce qu'il trouve que c'est cool principalement et parce que de loin il arrive à faire croire qu'il est éveillé. Mais seulement de loin. De près, ce masque fait plutôt flipper. Mais bon, comme Koji dirait si bien : « Aesthetic ».

Histoire

La famille Iwasaki était une famille simple de la classe moyenne, vivant à al périphérie de Tokyo. Tout ces conflits qui avaient lieu entre les goules et les humains, ils essayaient d'en rester le plus loin possible en travaillant comme toutes personnes normales qui suivaient le mouvement. Un jour, cette famille eu la joie d'avoir un enfant, un petit garçon qu'ils nommèrent Koji. C'était leur vœu le plus cher que d'avoir cet enfant à vrai dire et ils ne pouvaient être plus heureux désormais vu que leur but était accompli. Les parents continuaient d'aller travailler, leur fils lui grandissait bien et finit par aller à l'école comme tout les enfants en âge d'y aller.

Koji était déjà très calme et sérieux à cette époque là. C'était un bon garçon, sans histoires, assez solitaire aussi. Il n'avait que quelques vrais amis et ça lui allait très bien. Il était toujours heureux le soir de retrouver sa maison et ses parents, de passer la soirée avec eux, faire ses devoirs avec l'aide de son père ou de sa mère selon s'ils rentraient tôt ou non, regarder la télé en leur compagnie avant d'aller se coucher… Des trucs d'enfant quoi. Puis des choses commencèrent à changer alors que Koji avait à peu près sept ans. Lorsqu'il revenait de l'école il entendait ses parents se disputer, parfois il voyait son père boire des trucs qu'il n'avait jamais bu avant. Il se faisait aussi délaisser de plus en plus souvent, sa mère allant s'enfermer dans sa chambre pendant que son père lui restait à la cuisine. Malgré tout, Koji lui faisait en sorte de garder le sourire et de continuer à bien travailler pour les satisfaire.

Tout dégénéra à peu près un an plus tard. Koji avait pris l'habitude de se faire tout petit dans sa chambre depuis le temps, la relation de ses parents se dégradant au fil des jours. Son père devenait alcoolique avec la perte de son travail et sa mère devait travailler pour eux trois toute seule en plus de subir les représailles de son mari lorsqu'elle rentrait. Entre temps, Koji avait également commencé à faire du Kendo histoire de passer le moins de temps possible chez lui. Et puis il y eut ce soir là, où il rentrait de son cours. Il n'avait pas compris ce qui se passait tellement tout est arrivé vite. Ce dont il se souvient c'est que ça hurlait et qu'il avait couru voir, alarmé. Sa mère était allongé dans une mare de sang, son père avait un couteau à la main et lui tournait le dos. Koji lui avait eu une poussée d'adrénaline. Armé de son bokken il s'était rué sur son paternel et lui avait littéralement fracassé le crâne. Lorsque la police alertée par les voisins arriva, ils y trouvèrent deux cadavres, et un enfant recroquevillé sous la table de cuisine, hanté par ce qu'il venait de voir et faire.

Bien des mois plus tard, Koji avait été placé en famille d'accueil. Il avait commencer à changer depuis ce jour où ses parents étaient morts, bien que les changements étaient à peine perceptible. On l'avait reconnu comme étant victime de violences parentales et qu'il avait agi par légitime défense en tuant son père. Mais rien ne pourrait réparer les dégâts psychologiques qu'il avait subi, d'autant plus que le père de cette famille d'accueil composée déjà de deux enfants était quasiment comme son vrai père, la mère n'était pas mieux et ces quatre personnes prenaient un malin plaisir à le tourmenter malgré ce qu'il avait pu vivre. Et plus Koji grandissait, plus il nourrissait une haine profonde pour ces gens. Une haine qui ne fit que grandir lorsqu'il apprit vers ses 13 ans que cette famille était une famille de goules.

Il avait su ça par hasard à vrai dire, en surprenant une conversation de « famille » qui avait lieu sans lui. Ca parlait de l'engraisser, de faire baisser sa garde pour pouvoir le bouffer un jour et ensuite faire croire aux autorités qu'il avait fugué pour que sa soudaine disparition passe crème. Ca l'avait profondément énervé et dégoûté, mais il décida d'être plus malin. Ils voulaient de la fugue ? Ils en auraient. Le soir même, Koji partit de cette famille de dégénérés. Il ne savait pas où aller mais en tout cas ce serait loin d'eux, loin de tout ça, bien qu'il ne voulait pas disparaître de la circulation et continuerait de fréquenter son collège. Il n'avait plus confiance en personne, goules comme humains. Tous étaient des enfoirés, lui-même compris à tout les coups.

A partir de ce jour, Koji se mit à vivre dans la rue, volant et chapardant, s'arrangeant pour avoir tout de même l'air présentable pour aller à l'école. On lui posait des questions parfois à ce sujet, mais jamais il ne répondait et prétendait que tout allait bien tout en continuant à être un élève modèle. Puis il retournait dans ses cartons le soir, avec le peu de nourriture qu'il réussissait à voler ou qu'on lui donnait volontairement même si c'était rare. Il s'en sortait au début, mais au fil des semaines ça devenait de plus en plus dur pour lui.

C'était alors qu'il était dans cette détresse que sa route croisa celle du Ringmaster. C'était un soir alors qu'il était dans son coin de ruelle sous ses cartons que cet homme vint le trouver et lui proposer de rejoindre son groupe, qui accueillait tout les gens comme lui qui n'avaient plus confiance en personne en ce monde. Au bord du désespoir, Koji avait accepté de le suivre, d'en faire la seule personne en qui il aurait à nouveau confiance pour l'instant, parce qu'il avait l'air sincère dans ses paroles et voulait l'aider.

Dès lors Koji put vivre un peu mieux. Il apprenait en même temps les desseins du Suicide Circus, sa nouvelle « famille », le but qu'ils cherchaient à atteindre tous. Les quelques années qui suivirent son arrivée dans le groupe, le brun se familiarisait à tout ça en plus de se chercher une place précise dans le groupe. Il ne savait pas vraiment encore en quoi il pouvait aider… Tout du moins, jusqu'à ce que ses cours de biologie et de chimie ne l'éclairent là-dessus.

Il décida de s'intéresser aux réactions chimiques, aux tortures et aux armes. Un peu trop même puisqu'il se retrouva à 16 ans à aller acheter des armes illégalement. Enfin acheter… Disons qu'il avait plutôt fait un emprunt sans retour qui ne fut pas et n'est toujours pas d'ailleurs du goût des emprunteurs. C'est ainsi qu'il acquit quelques pistolets, des grenades et un lance-grenades, le tout bien planqué dans son studio miteux histoire de ne pas se faire choper en possession de ce genre d'armes. Les autres trucs, comme les explosifs notamment, il les fait artisanalement, ayant appris à se débrouiller avec ça. Ca va faire deux ans qu'il est officiellement le cracheur de feu du Suicide Circus. Deux ans qu'il aime exploser tout et n'importe quoi quand ça lui chante et qu'il aime faire souffrir les gens. Et ça n'est pas là de s'arrêter, du moins tant que le Suicide Circus existera.

Pseudonyme : Poney
Âge : Cheval
Comment es-tu venu ici ? : Licorne
Tes impressions : Pégase
Code du règlement : Ane
Une dernière pour la route ? : Zèbre

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